4h04
même la musique hypnotique de Mono n’a pu rien faire 20heures déjà que
j’ai les yeux ouverts et je n’arrive pas à dormir très fatigué pour me
branler j’ai tout essayé regarder des séries des films écouter de la
musique jouer à Sudoku mais en vain. Pourtant ma journée avait été assez
fatigante réveil à 8h un petit café et un œuf dur, glandage sur
facebook et MSN, train pour aller à Tunis puis métro…métro….métro.
Il est vrai que dans le métro j’ai vu l’homme au regard parlant qui n’arrêtait pas de me cirier je sais qui t’es je me rappel de toi je sais ce que t’es je sais ce que tu fais et avec qui tu le fais j’ai tout compris hier il fallait juste te serrer la main et tout était clair ça sautait aux yeux ça se voyait dans ta façon ferme et pressée de me saluer dans ta maladresse, la halte avec laquelle t’étais parti je sais tout j’ai tout compris et là tu es à ma merci tu n’as nulle part ou t’échapper et d’ailleurs personne ne t’aidera ils seront tous de mon coté et nous prendrions tous plaisir à te faire subir les mille et un supplice, son regard était comme une flèche de glace qui me transperçait mais ma blessure ne saignait pas mon sang se figeait instantanément il me fixait sadiquement il prenait son pied à orchestrer ce lynchage publique cette exécution. Le sang figé le corps glacé l’âme brulée, ce qui assouvirait tout désir de vengeance, immobile n’ayant aucun moyen de me défendre je ne pouvais que me laisser faire ne pas débattre dans l’espoir d’une mort rapide, ou le coup de grâce.
Je ne voulais pas le confronter j’essayais de fuir son regard mais avec ses chaines il m’obligeait à voir le reflet de ma mise à mort dans ses yeux qui brillaient de mille feux.
Incapable de bouger le petit doigt d’émettre le moindre son je mourrais lentement silencieusement atrocement pendant que le métro s’enfonçait dans les entrailles de Tunis…
Il est vrai que dans le métro j’ai vu l’homme au regard parlant qui n’arrêtait pas de me cirier je sais qui t’es je me rappel de toi je sais ce que t’es je sais ce que tu fais et avec qui tu le fais j’ai tout compris hier il fallait juste te serrer la main et tout était clair ça sautait aux yeux ça se voyait dans ta façon ferme et pressée de me saluer dans ta maladresse, la halte avec laquelle t’étais parti je sais tout j’ai tout compris et là tu es à ma merci tu n’as nulle part ou t’échapper et d’ailleurs personne ne t’aidera ils seront tous de mon coté et nous prendrions tous plaisir à te faire subir les mille et un supplice, son regard était comme une flèche de glace qui me transperçait mais ma blessure ne saignait pas mon sang se figeait instantanément il me fixait sadiquement il prenait son pied à orchestrer ce lynchage publique cette exécution. Le sang figé le corps glacé l’âme brulée, ce qui assouvirait tout désir de vengeance, immobile n’ayant aucun moyen de me défendre je ne pouvais que me laisser faire ne pas débattre dans l’espoir d’une mort rapide, ou le coup de grâce.
Je ne voulais pas le confronter j’essayais de fuir son regard mais avec ses chaines il m’obligeait à voir le reflet de ma mise à mort dans ses yeux qui brillaient de mille feux.
Incapable de bouger le petit doigt d’émettre le moindre son je mourrais lentement silencieusement atrocement pendant que le métro s’enfonçait dans les entrailles de Tunis…
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